Désorbitage par
Trampoline Systeme traduction en français Version 1.2 Copyright ©2017 by Paul Niquette. All rights reserved. |
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Au
moment de ce document (mi-2017), environ 18 000
objets faits par l’homme orbitent la terre, y
compris plus de 1 400 satellites opérationnelles
(voici Table 1).
L’humanité dépend d’innombrables
applications de technologie spatiale ;
beaucoup des applications les plus vitales peuvent
être catégorisées ainsi : {1} Les
observations astronomiques sont menées par Hubble
en orbite au dessus de l’atmosphère. Les « solveurs » sont
invités à observer que l’article item {10} La résolution du
problème de débris orbitaux a été accentué signifiant qu'il
y a un besoin vital que l’humanité adresse ce
problème international à l’extérieur de
l’atmosphère. Ceci
est un challenge comparable au changement du
climat terrestre à l’intérieur de l’atmosphère. Débris orbitaux
encombrant l’espace autour de notre planète Tailles des
catégories – Quantités en orbite plus gros que 10 cm
– 29 000 entre 1 et 10 cm –
670 000 plus petit que 1 cm – 170
millions Depuis le commencement du 21e siècle, les
quantités de débris faits par l’homme ont grandi
multiplé à
proximité de notre planète et ils sont devenus un
danger aux satellites et aux vaisseaux spatiaux –
une menace qui est plus grosse que celle des
météores. Chaque objet dans
l’espace voyage sur sa propre orbite. Un objet
typique en orbite terrestre basse (OTB) voyage à 28
000 km/h (17 500 mph). Sans parler
des collisions frontales ou à angles obliques,
considérez le cas d’un satellite et d’un article
de débris spatial voyageant à la même vitesse en
orbites qui se croisent à seulement un degré. Ils se
heurteraient avec une vitesse relative de 490 km/h
(305 mph) : à peu prés comme un dragster qui
heurte latéralement une camionnette garée. L’humanité devrait être
embarrassée de considérer comment, pendant les six
décennies passées, les nations totalement négligeante
ont traité les orbites du monde de manière…
Dans
la mesure où les collisions avec des
débris produisent encore plus de débris,
l’avalanche d’événements destructives qui
en résulté appelée le Syndrome Kessler,
pourrait rendre assez tôt les orbites
terrestriels impassables pour des siècles
à venir.
Déjà, une moyenne d’un satellite
est détruit par an à la suite d'une collision
avec des débris
spatiaux.
Tous les objets en orbite vont finalement être traînés vers le bas jusque dans l’atmosphère. Le sens du mot « finalement » peut représenter très longtemps, dépendant de l’élévation de l’orbite. Le note {4} de la Table 1 dit, « les satellites ou les débris dans l’espace à des orbites à ou en dessous de 250 km (155 mi) seront brûlés dans l’atmosphère en un an. » Selon le NASA Orbital Débris Program Office (le bureau NASA pour le programme de désorbitage des débris), pour adresser les risques aux vaisseaux spatiaux actuels, on a besoin de favoriser la suppression de debris de petite taille. Par contre, pour la gestion des débris fragmentations crées par explosions et des collisions, on a besoin de supprimer les plus grands objets comme fusées et satellites qui ne sont plus opérationnels. Selon un rapport récent la suppression d'aussi peu que cinq par an des plus gros objets qui présentent les risques les plus sérieux peut stabiliser l’environnement de l'OTB pour à long terme. La page de la solution pour l’énigme Trampoline Système de désorbitage (TDS) fait une proposition qui serait économique et efficace pour l’élimination rapide « des objets les plus risqués » sur l'OTB – une proposition qui utilise des technologies prouvées de l’âge de l’espace et qu'on ne trouve décrite nulle part sur l’Internet. Jusqu’à maintenant. On peut définir « les objets les plus risqués » comme [a] les satellites qui ont fini leurs missions mais qui continuent sur ces orbites ou [b] des fusées de lancement qui ont été abandonnés forcément et qui sont sur ces orbites. Pour être bref, on peut adopter le mot derelict. L’élimination d’un derelict
demande un système qui a comme mission de
faire d'accomplir
Dans le cadre de la séquence de
lancement, le vaisseau spatial pour le positionner
sera programmé par le centre de contrôle sur Terre pour opérer de façon
autonome. Ici
et pendant toute la mission, nous avons besoin
d'exiger une forme de ‘hygiène orbitale’. Les
sections de la fusée et la coiffe du vaisseau
spatial, par exemple, ne doivent pas être jetées
dans les orbites terrestres. À cet
égard, un système réutilisable de lancement serait
idéal.
L’orbite de positionnement initial
correspond à l’orbite du derelict en inclinaison
et excentricité mais il a une période qui est un
peu plus long.
Quand le derelict s’approche de la
conjonction par dessous, le vaisseau spatial
accomplit une manouvre autonome pour se transférer
sur l’orbite du derelict des poussées de la
combustion rétrograde du moteur principal.
À cause des
irrégularités attendues de la structure du
derelict et de son orientation au hasard, des
propulseurs directionnels doivent être opérés
fonctionner à distance pour préparer la précision
de l’amarrage. Ils
sont téléguidés depuis le centre de contrôle
utilisant l’information relayée par vidéo en live
streaming. L’équipement dans le vaisseau spatial
doit être préparé et déployée selon les besoins.
Divers mécanismes
ont été proposés, y compris des harpons, des
lassos et des grappling hooks. Le
mécanisme le plus populaire semble être un grand
filet à papillons qui est catapulté du vaisseau
spatial, comme montré présenté dans ce clip d’un
teste dans un environnement synthétique en
apesanteur.
Les systèmes de captage
sont connectés par câble, donc le derelict ne peut
être que remorqué par le vaisseau spatial jusqu’á
l’orbite d’élimination. Ceci
impose un defi technique. Le câble
a besoin de protection contre des flammes du
moteur principal pendant les maneuvres
rétrogrades.
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Elevation MSL | Radial Distance | Period | Velocity | Quantity | Notes | |||||
Zone | Description |
km | mi | km | mi | hr | km/h | mph | ||
HE0 | High Earth Orbit | 384,000 | 238,540 | 390,378 | 242,502 | {1} | ||||
Disposal Orbits | > 36,100 | > 22,425 | > 42,478 | > 26,387 | ||||||
GEO & GSO | 35,786 | 22,230 | 42,164 | 26,192 | 24 | 11,038 | 6,900 | 300+ | {2} | |
High Earth Orbit | 35,786 | 22,230 | 42,164 | 26,192 | ||||||
Disposal Orbits | < 35,300 | < 21,930 | < 41,680 | < 25,890 | ||||||
> 20,700 | > 12,860 | > 27,080 | > 16,820 | |||||||
MEO | Medium Earth Orbit |
35,786 | 22,230 | 42,164 | 26,192 | |||||
Galileo | 23,222 | 14,425 | 29,600 | 18,387 | 14 | 13,284 | 8,300 | 30 | ||
GPS | 20,180 | 12,536 | 26,558 | 16,498 | 12 | 13,906 | 8,690 | 31 | ||
GLONASS | 19,130 | 11,884 | 25,508 | 15,846 | 11 | 14,570 | 9,100 | 29 | ||
Medium Earth Orbit |
2,000 | 1,242 | 8,378 | 5,204 | ||||||
Disposal Orbits | < 19,700 | < 21,930 | < 26,080 | < 16,200 | ||||||
> 2,000 | > 1,240 | > 8,378 | > 5,204 | |||||||
LEO | Low Earth Orbit | 2,000 | 1,242 | 8,378 | 5,204 | |||||
Polar Orbiting | 700 | 435 | 7,078 | 4,397 | {3} | |||||
435 | 270 | 6,813 | 4,232 | |||||||
Iridium & SSO | 620 | 385 | 6,998 | 4,347 | 1.67 | 26,329 | 16,455 | 72 | ||
Hubble | 595 | 370 | 6,973 | 4,332 | 1.593 | 27,503 | 17,190 | 1 | ||
ISS | 412 | 256 | 6,790 | 4,218 | 1.545 | 27,602 | 17,251 | 1 | ||
Deorbit < 1year |
250 | 155 | 6,628 | 4,117 | ~1.445 | ~28,820 | ~18,000 | {4} | ||
Low Earth Orbit | 0 | 0 | 6,378 | 3,962 | ||||||
HEO, | Molniya - Apogee | 38,552 | 24,100 | 44,930 | 12 | 3 | {5} | |||
MEO, | - Perigee | 1,626 | 1,020 | 8,004 | ||||||
& | Tundra - Apogee | 38,552 | 24,100 | 44,930 | 12 | 3 | {5} | |||
LEO | - Perigee | 1,626 | 1,020 | 8,004 |
{1} Lunar orbit considered here to be the limit of High Earth Orbit. |
Atmosperic
Disposal As shown in Table 1 there are three zones of Disposal Orbits. These are put forward by the U.S. Government Orbital Debris Mitigation Standard Practices, which were endorsed by the United Nations in 2008. A critical review of these voluntary practices is outside the scope of the Trampoline Deorbiting System puzzle. Solvers will surely observe that, since all forms of debris are subject to orbital decay, the act of moving derelicts into Disposal Orbits merely defers their inevitable endangerment of working satellites in orbits at lower elevations. |